Bonjour, bonjour,
Je suis encore en construction comme vous pouvez le voir, mais j’ai tout de même envie de rédiger un petit compte rendu de notre café philo de samedi.
C’est la 3ème fois que je le recommence, je dois vous avouer que je perds tout sur ce blog ! Et seulement entre nous, je crois bien que je m’écris des commentaires à moi- même. Si si je l’ai fait . Si ma grand mère me voyait me mêler de créer des blogs, je suis sûre qu’elle dirait « raccommode plutôt tes chaussettes ce sera plus utile »
C’était justement le sujet de notre café philo de ce samedi. Lorsqu’on connait l’étymologie latine du mot travail « Tripalïum » qui veut dire instrument de torture, on comprend pourquoi au « travail », on y va toujours un peu en rechignant ! Est-ce que le travail est aliénation ? Certainement pas pour ceux dont le travail est une passion, comme l’a relevé une des participantes, et puis le travail n’est -il pas la liberté, il s’oppose à la paresse. Qui disait « si tu ne travailles pas, tu manges pas » ?
Sommes -nous obligés de travailler ? Yann a fait la comparaison avec l’animal. Il a pris l’exemple d’une étude faite sur la fourmi qu’on dit travailleuse, mais qui en fait ne travaille pas longtemps pour se nourrir, aussi si l’homme ne travaillait que pour manger, il n’aurait pas besoin de travailler longtemps. le Marxisme et la société de consommation force l’homme à travailler beaucoup.
Une autre participante a remarqué que le mot reconnaissance était beaucoup ressorti de la discussion. Le travail apporte la reconnaissance.
Reconnaissance a aussi été utilisé par une participante qui a fait sciemment avec l’accord de son mari, le choix de rester sans travailler et qui se heurte souvent au manque de reconnaissance des autres.
Voilà quelques pistes, deux heures de discussion ne tiendraient pas ici alors j’arrête mais à bientôt.
à bientôt
Dominique
